Princesse Sarah

Je vais lever un mystère, somme toute peu mystérieux, mais je suis née en 1983. Je suis donc une enfant de la génération 90 : Club Dorothée, Pas de pitié pour les croissants, Les musclés, Premiers Baisers, Hélène & les Garçons, Sailor Moon, Candy, Le Petit Lord…. bref, j’en passe et des meilleurs.

Pour ce 21ème jour du Défi de Novembre, je dois vous parler du dessin animé de mon enfance et je dois avouer, que le choix s’est fait très spontanément. Je n’ai pas eu besoin de réfléchir, le brainstorming a été rapide : enfance, dessin animé = Princesse Sarah !!!! Ce dessin animé a été tiré du roman La Petite Princesse de Frances Hodgson Burnett (1888).

Même si vous êtes né(e)s dans les années 2000 (oui on ne sait jamais, peut être que mon lectorat est jeune :p), vous connaissez forcément Princesse Sarah, Lavinia ou Mademoiselle Mangin !

Je vous refais le pitch, juste pour le plaisir : Sarah est orpheline de mère et elle est placé dans un pensionnat par son riche papa, pour qu’elle bénéficie de la meilleure éducation pendant que ce dernier vaque à ses affaires. Malheureusement, il fait faillite et disparait. Considéré comme décédé (oui parce qu’à la fin, il revient miraculeusement ! pauvre, mais il revient et se refait ;)), Sarah devient alors « pauvre » et relégué au plan de servante au pensionnat puisque son père n’est plus là pour subvenir aux frais de sa scolarité et à ses besoins. De là, s’ensuite bon nombre de situations d’humiliations et de méchancetés à l’encontre de Sarah, surtout provenant de Lavinia, petite fille riche et désagréable au possible, et de Mademoiselle Mangin, la directrice peu commode du pensionnat. Heureusement, Sarah a toujours des amis comme James ou la petite Lottie pour l’aider et lui apporter du réconfort.

Bon à, comme ça, le pitch donne moyennement envie. Et j’avoue qu’avec du recul d’adulte et mon humour « second degré », je me dis qu’elle n’a vraiment pas de bol, la pauvre Sarah avec toutes ces mésaventures ! 😉

Mais voilà, mon coté « fleur bleue hypersensible » reprend le dessus et j’adore revoir l’happy end de ce dessin animé. Sans oublier que le générique, une fois qu’on l’écoute, on l’a en tête toute la journée ! Bingo gagnant pour le créateur japonais Ryūzō Nakanishi 

Allez, pour le plaisir, je vous le mets 😉

Et vous, quel est le dessin animé de votre enfance ? 

C’était ma participation au Défi de Novembre. Retrouvez les articles des autres participants juste ci dessous !

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